Normandie Vol Libre

Treuillées à St Laurent en Caux samedi 3 septembre

jeudi 8 septembre 2011 par Homo Volatilus Rigidus

Quelques nouvelles têtes font leur apparition, quelques unes disparaissent dans les nuages et d’autres restent cloués sur le siège du treuil.

La petite vidéo de notre JCV ... la maitrise prend le pas sur le stress !

Untitled from Homo Volatilus Rigidus on Vimeo.

La vidéo de Sylvain M. dans la brume :

Et la vidéo du vol de HVR pour essai du delta de son poulain :


Encore un grand merci pour cette après midi et à bientôt pour d’autres vidéos en réserve !

Sylvain M.


Pour une première à Saint Laurent merci a tous De nombreuses treuillées et même un delta. Quelques Saint-Laurentais ébahis de voir nos activités.

Christophe D.


ça a tourné, les treuillées aujourd’hui ! mais pas de gain. Rigolo le vol dans les nuages... jusqu’à ce qu’on ne voit plus le treuil. Et on n’a même pas été gêné par la pluie ! Beau terrain Christophe, bravo !

Alain C.


Super ! Merci pour ma première treuillée chez NVL et en plus, à 15 minutes à peine de la maison ! Génial. Site et ambiance générale sympa, je reviendrais ...

Christophe B.


Un grand merci aux starters, aux conducteurs, aux aides et à Christophe pour nous avoir trouvé ce terrain, le vol dans les barbules c’est rigolo :-))

Yann K.


Mes deux premiers vols treuillés à NVL ...et quels vols !
Le premier ressemble presque à une mauvaise blague avec un largueur qui ne veut pas me larguer. Je n’ai pas encore connu pareille affection en vol, j’ai pourtant côtoyé une mouette qui... Non, non, ce n’est pas à ce point. Avec le recul, je pense à un acte manqué : Est-ce que je veux rester relié à la terre par un cordon ombilical ? Qui sait ? Bref, je fini par le couper ce cordon, enfin, pas tout à fait, juste à l’actionner pour prendre mon envol... quoique je suis déjà en vol.

Deuxième déco un peu plus tard.
Je suis le dernier treuillé de la journée. Le tonnerre gronde déjà, les nuages étalent leurs volutes blanches au-dessus du champs, les autres pilotes ramassent leurs ailes. Qu’importe, l’ivresse du vol m’attend encore et je ne veux pas manquer le rendez-vous. La montée se passe de manière plus sereine qu’au premier vol. Je grimpe jusqu’aux premières couches de gaze céleste. Le coton se révèle froid, mais pas inhospitalier et je monte en regardant les sillons du champs qui disparaissent petit à petit sous moi.

Lorsque le câble se relâche pour que je puisse me libérer, le piège se referme, je suis dans une masse blanche uniforme. En haut, en bas, de droite et de gauche, une gangue blanche m’encercle tout entier. J’effectue, me sembla-t-il, un demi-tour. Une bonne respiration, bras haut, je profite du paysage fantasmagorique. Dans une cage sans barreau, l’œil n’a aucun point où se poser et ne sait que faire. Mes yeux se fixent donc sur le bout de mes chaussures puis sur l’aile épanouie au-dessus de moi. Elle respire le nuage par ses ouïes, se délecte du vol. Je ne la sens pas prête à redescendre !
Lorsque les nuages s’écartent enfin sous moi, j’ai l’impression d’avoir passé une éternité dans leurs ventres. Je suis haut encore mais il reste à trouver des repères au sol. Surtout que ce petit bois ne me dit rien, ni ces marques dans le champ. Ah derrière moi, des voitures, une aile à plat. L’atterro ! J’ai fait un 360° sans m’en apercevoir. Je négocie l’approche, un peu haut tout de même quand l’averse se m’est à tomber. Je pose sous les gouttes, replie l’aile dans un sac rapide avec l’aide de camarades bien attentionnés et me mets à l’abri avec le sourire !

Dans le désordre, merci à Thomas et au propriétaire du premier largueur, au dévoué Ludovic sur son trône motorisé qui envoie en l’air ses petits camarades toute l’après-midi, à la voix calme de Jean-Pierre qui me prodigue des conseils quand Ariane ne veux pas me larguer de son fil et aux autres novoliens qui partagent les gâteaux, leurs photos ou retiennent les 70... 80... 90 kg de tension. Une belle après-midi et depuis, le sourire ne me quitte plus, j’ai l’impression d’avoir du coton blanc entre les oreilles !

Geoffrey B.


Belle journée jusqu’à l’orage vers 18h30 ; pas grave, on a tout plié.

Une bonne trentaine de treuillées grâce à notre élève treuilleur qui s’affirme de jour en jour.
Premières treuillées de notre Deltiste Nico avec le club 15.

Un grand merci à ceux qui ont donné leur après midi pour faire voler les autres.

Jean Pierre



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